L’abreuvoir
Au ras des causses gris s’amincit le soir rouge... Des chênes, un bouquet de pins noirs ; rien ne bouge, C’est l’heure où les grands boeufs fatigués des labours Viennent, lourds et puissants, à la chute des jours, Vers l’étang solitaire et grossi par l’orage Incliner leurs fronts roux (...)